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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
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TOUS EN GREVE – TOUS AUX MANIFESTATIONS
ROUEN 10h30 Cours Clémenceau
LILLEBONNE 14h15 Théâtre Romain
LE HAVRE
RDV à 6 heures au Grand Hameau : Blocage de l’Economie Havraise
10H30 devant CCI Le Havre (près Docks Océane) : Rassemblement Interpro puis Manifestation
DIEPPE : 10H00 DEVANT LA GARE SNCF
EU 10 h Gare de la ville d’Eu
LOI TRAVAIL: LA MOBILISATION CONTINUE LE 28 AVRIL A 10H00 DEVANT LA GARE
Communiqué de presse CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL vendredi 15 avril 2016 Le gouvernement a présenté le 11 avril dernier, des mesures importantes en faveur des jeunes (Aide à la ...
L’Assurance-maladie veut favoriser la « pertinence » des prescriptions d’arrêts de travail en incluant de nouveaux critères dans la rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp), sorte de prime octroyée aux médecins pour améliorer leurs pratiques, selon un document consulté ce mercredi par l’AFP.
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L'Assurance maladie veut pousser les médecins à réduire les arrêts de travail
L'Assurance-maladie veut favoriser la " pertinence " des prescriptions d'arrêts de travail en incluant de nouveaux critères dans la rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp), sor...
Comme prévu, l’absentéisme des soignants paramédicaux augmente. Faute d’en analyser les causes profondes, la seule proposition « efficace » est de réinstaurer un jour de carence qu’on pourra augmenter si nécessaire à deux ou trois jours, en attendant que le président de la FHF devenu ministre « fluidifie » le statut des personnels en permettant aux hôpitaux publics de se transformer en ESPIC.
Les causes de l’absentéisme sont connues :
1°) Les conditions d’application des 35 heures et des RTT ayant entraîné une fragmentation de la prise en charge des patients. Quand, dans une unité d’hospitalisation de semaine, les infirmières changent tous les 2 ou 3 jours, elles ont bien du mal à connaître les patients. La motivation au travail n’est pas la même.
2°) Le tout T2A qui conduit à toujours plus d’hospitalisations de durée toujours plus courte.
La « productivité hospitalière » a augmenté depuis 2003 de plus de 2 % par an. Jusqu’à il y a 3 ans, l’augmentation du nombre de médecins avait suivi, mais pas celle des soignants non médicaux.
Avec une augmentation de l’ONDAM de 1,75 % pour une augmentation programmée des charges de 3 %, le tout T2A va finir enfin par casser la machine hospitalière ! Fin de « l’hospitalo-centrisme » se réjouiront certains, hélas sans réelle alternative pour les malades.
3°) Dislocation voulue des équipes de soins au profit du taylorisme managérial. Les infirmières « polyvalentes » passent d’un jour à l’autre du 5e (service X) au 3e (service Y).
Les plus modernes ont même supprimé le terme de service pour que chacun et chacune comprenne bien qu’il n’est qu’un élément d’un pool. Le statut de « bouche-trou » ne suscite pas la motivation malgré les discours sur l’enrichissement personnel entraîné par la « polyvalence ».
4°) Au-delà d’un certain seuil, l’absentéisme des uns induit l’absentéisme des autres qui en ont assez de combler l’absentéisme des premiers. Et les cadres doivent se « recentrer sur leur cœur de métier : faire le planning » (sic).
5°) L’accroissement abracadabrantesque des inégalités salariales dans le pays, révélées tous les jours par les médias. En bas de l’échelle, l’idée « j’en fais assez pour ce que je suis payé » se répand.
Et la seule conclusion que tirent les managers et les commentateurs, c’est que l’absentéisme coûte cher à l’hôpital ! Aucun n’ose dire la vérité brutale: L’absentéisme va de pair avec une dégradation de la qualité des soins.
Pour appliquer le slogan publicitaire « mettre le patient au cœur de l’hôpital ! », il faudrait d’abord peut-être se préoccuper des conditions de travail des soignants et arrêter de gérer l’hôpital comme une entreprise.
LOI EL KHOMRI : UNE SEULE SOLUTION, SE BATTRE JUSQU'A SON RETRAIT
LOI EL KHOMRI : UNE SEULE SOLUTION, SE BATTRE JUSQU'A SON RETRAIT. Il est des moments où l'histoire se cristallise. Elle nous porte à penser que rien n'est jamais acquis. Qu'au contraire, lorsque...
Le n°9 de Ruptures est en passe d’être bouclé. Il devrait arriver vendredi chez les abonnés.
La Une ouvrira le journal sur le Non néerlandais, après les Non grec et danois…
L’éditorial évoquera l’indignation qu’ont suscitée les révélations des « Panama Papers » pour pointer l’aveuglement sur la partie immergée de l’iceberg : la libre circulation des capitaux.
La page 2 sera consacrée au rebondissement de la crise des réfugiés, qui permet à certains de prôner une fuite en avant fédérale ; la page 2 évoquera également le congrès de la CGT qui vient de se terminer à Marseille.
La page 3 reviendra largement sur le Non néerlandais lors du référendum du 6 avril, qui portait sur l’accord avec l’Ukraine, mais plus fondamentalement sur le « plus d’Europe » que les peuples refusent désormais systématiquement.
La page 4 analysera le retour de la « crise grecque », alors que les créanciers entendent durcir encore l’austérité, et traitera également des élections en Serbie et en Autriche.
Pour ne pas manquer cette édition, abonnez-vous vite, si ce n’est déjà fait…
Paris hausse le ton,mais avec des arrière-pensées
Libre-échange Le gouvernement français menace de bloquer les négociations sur le traité transatlantique à des fins électoralistes... et de défense des multinationales.
http://www.humanite.fr/paris-hausse-le-tonmais-avec-des-arriere-pensees-605553
Francetv info : voir la vidéo sur le site.
Mis à jour le , publié le
Les États-Unis et l'Union européenne sont deux marchés gigantesques. L'objectif du traité de libre-échange transatlantique est de réunir ces deux marchés pour n'en former plus qu'un, mais le rapport de force pourrait être déséquilibré.
Selon l'économiste Thomas Porcher, des multinationales américaines pourraient imposer leurs normes aux entreprises européennes. "Sur un tas de secteurs, ce sont les Américains qui sont en force. Certaines de ces normes pourraient être imposées à nos industries", estime-t-il.
Les négociations entre les États-Unis et l'Europe ont débuté en 2013. Elles se déroulent dans le plus grand secret et certains parlementaires pointent du doigt un manque de transparence. "Nous en sommes au treizième tour des négociations, et on ne connaît absolument rien. Les comptes-rendus de la Commission européenne sont d'une banalité affligeante. Personne ne peut dire ce qui a été négocié en termes de normes", déplore Thomas Porcher.
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CHÔMAGE : « baisse » (légère) officielle mais AUGMENTATION de la PRÉCARITÉ
Les catégories de travailleur(e)s chercheur(e)s d’emploi : Catégorie A : demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, sans emploi ; Catégorie B : demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, ayant exercé une activité réduite courte (ex. de 78 heures ou moins au cours du mois) ; Catégorie C : demandeurs d’emploi tenu
Cécile Chevallier | | MAJ :
Une première en France. Le tribunal des affaires de la Sécurité sociale (TASS) d’Evry vient de reconnaître la « faute inexcusable » d’une société spécialiste de la maintenance nucléaire, la jugeant responsable de la maladie professionnelle qui a causé la mort d’un de ses employés.
« Ce jugement a une importance phénoménale, lâche Philippe Billard, président de l’association Santé sous-traitance et à la CGT. Il y a 2 ans, la justice avait reconnu la faute d’EDF pour un de ses salariés travaillant en centrale. Avec la décision d’Evry, c’est la première fois que cela concerne un employé d’une société sous-traitante. Ce jugement pourrait mettre un terme au sacrifice humain. On ne peut plus accepter le risque couru par les personnes travaillant directement ou indirectement dans le nucléaire. »
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