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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 09:27

Lu sur le site du M'Pep.  A l'heure où le pouvoir socialiste remet en cause, dans la lignée de son prédécesseur, le nombre et les missions des inspecteurs du travail, voici un ouvrage, daté de 2006 et édité par l'Institut d'histoire sociale.  Il est recommandé par le M'Pep qui souligne combien c'est un enjeu de classe.

 

 


 

Mon métier n’était pas neutre - Mémoires d’un inspecteur du travail

Auteur : Bruno Guérard
Editeur : Institut d’histoire sociale, 2006

Résumé :

A la fin des années soixante et dans les années soixante-dix, une forte impulsion, une grande attente, dynamisent le mouvement social, développent le droit du travail. Au coeur de ce phénomène, l’inspection du travail modifie ses pratiques et sa théorie. Ces mémoires font revivre la vie quotidienne dans les sections d’inspection et dans les services du ministère du Travail de 1965 à 2000. Ils permettent de s’interroger sur l’évolution d’un système social qui bouleverse l’histoire politique et économique. En ces étapes de la fin des Trente glorieuses et de la crise trentenaire qui suit, le lecteur observe les effets de la désindustrialisation, les licenciements économiques sollicitant l’action des services. Au fil des pages, il pénètre sur les accidents du travail, observe la vie et la mort des entreprises, la vie syndicale, l’action des comités d’entreprise, suit le prolongement des affaires devant la justice, leur répercussion dans la hiérarchie ministérielle.

A propos de l’auteur :

Bruno Guérard a été contrôleur et inspecteur du travail, puis directeur adjoint chargé d’une Cotorep, avant d’achever sa carrière au Comité d’histoire du ministère.

 

 

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