Cet article est reposté depuis Le blog de Roger Colombier.
La loi sur les retraites est adoptée sans les députés, sans les syndicats et sans le peuple.
Après son énième 49-3 prévu par la Constitution, la première ministre parle de "victoire" et "d'aboutissement du processus démocratique". Mais que vaut une loi si personne ne lui accorde de légitimité, hormis le palais de l'Elysée et ses chambellans, une minorité de députés et l'ensemble des commis du capital ? Dans la Constitution de 1958, taillée expressément pour le général de G