Plutôt discrète et insidieuse au départ, la censure des GAFAM s’exerce sans fard depuis la guerre d’Ukraine. Entre les géants du Net et l’OTAN, la collusion est avérée et documentée. Ceux qui remettent en doute la propagande atlantiste se voient réduits au silence sur ces réseaux qui pèsent de tout leur monopole. Démonstration. (IGA)
Google a envoyé un coup de semonce à travers le monde, informant de manière inquiétante les médias, les blogueurs et les créateurs de contenu qu’il ne tolérera plus certaines opinions concernant l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Au début du mois, Google AdSense a envoyé un message à une myriade d’éditeurs, dont MintPress News, pour nous informer que, « en raison de la guerre en Ukraine, nous allons interrompre la monétisation du contenu qui exploite, rejette ou tolère la guerre« . Ce contenu, poursuit le site, « comprend, sans s’y limiter, des affirmations qui impliquent que les victimes sont responsables de leur propre tragédie ou des cas similaires de blâme des victimes, comme les affirmations selon lesquelles l’Ukraine commet un génocide ou attaque délibérément ses propres citoyens. » [...]
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Zone d'exclusion intellectuelle : La censure en ligne de la dissidence devient la nouvelle norme
Plutôt discrète et insidieuse au départ, la censure des GAFAM s'exerce sans fard depuis la guerre d'Ukraine. Entre les géants du Net et l'OTAN, la collusion est avérée et documentée. Ceux qu...