par Alain Chancogne (ANC)
C’est pourtant ce qu’affirment la quasi-totalité de la classe politique et les commentateurs de télévision.
Je pense que cette analyse des résultats électoraux à partir de chiffres obtenus dans le cadre d’institutions antidémocratique ne saurait modifier la réalité concrète de ce qu’est la société française.
Plus "simplement"
A/ Un bon quart d’électeurs ne se reconnaissent pas dans LA "règle du jeu et s’abstiennent d’ y participer.
B/ Une MINORITÉ certes la plus " peuplée ", mais dont plus de la moitié en aucun cas ne s’est prononcée pour la poursuite de la politique actuelle ( y compris pour son électorat de premier tour) a redonne les clefs de l’Élysée a Macron.
Par juste refus d’un soi disant risque de les refiler à MLP.
C/ Des millions d’électeurs ont voté Jean-Luc Mélenchon au premier tour dont certainement près de la moitié ne voulait pas revivre la finale Macron/Le Pen.
Et dont un grand nombre avait acté la mort d’un Parti socialiste auquel ils ont fait confiance pendant des décennies.
Je ne nie pas que c’est un important vivier démocratique, progressiste.
[...]
La suite ci-dessous :
Non, nous ne sommes pas un "peuple" divisé en blocs !
C'est pourtant ce qu'affirment la quasi-totalité de la classe politique et les commentateurs de télévision. Je pense que cette analyse des résultats électoraux à partir de chiffres obtenus da...