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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
18 juillet 2021 7 18 /07 /juillet /2021 14:31
A Genève, le début de la sagesse ? (éditorial paru dans l’édition du 22 juin de Ruptures)

L’UE choisit le moment où Washington et Moscou esquissent un très prudent dialogue pour afficher une attitude martiale et jusqu’au-boutiste

 

Plaisant retournement. Pendant ses trente-six ans de carrière parlementaire, Joseph Biden n’a jamais caché son hostilité à la Russie en général, puis à Vladimir Poutine en particulier. Fraîchement entré à la Maison-Blanche, il assurait encore qu’avec ce dernier, il n’y avait rien à discuter. Et il y a quelques semaines à peine, il qualifiait son homologue russe de « tueur ». Finalement, les deux hommes se sont rencontrés le 16 juin à Genève. Le président russe a dû savourer le moment. Son homologue avait préalablement nuancé son appréciation : le chef du Kremlin était soudain devenu « brillant, coriace ». En retour, ce dernier a salué « le pragmatisme et l’énorme expérience » du président américain.

Peu avant l’entrevue, tant Washington que Moscou s’étaient efforcés de modérer les attentes : nul ne devait se faire d’illusion sur une éventuelle « percée ». Mais, dans le climat délétère fait de sanctions, de contre-mesures, et d’attaques ouvertes – la partie américaine accusant Moscou notamment de cyber-ingérences dans les élections et l’économie américaines – qu’un tel échange ait eu lieu constitue un événement tout sauf anodin. Vladimir Poutine s’est réjoui qu’il n’y ait « pas eu d’hostilité » et a salué une « relation pragmatique » ; son homologue a qualifié les échanges de « bons, positifs, et sans hystérie ». Bref, si la confrontation n’est pas près de disparaître, celle-ci, espère-t-on des deux côtés, pourrait avoir lieu selon des règles, et dans un cadre plus rationnel. Même si Joseph Biden a cru bon de brandir ses « lignes rouges » (attaques cyber attribuées à Moscou, sort d’Alexeï Navalny).[...]

La suite ci-dessous :

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