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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
4 janvier 2021 1 04 /01 /janvier /2021 23:46
  Valery Giscard d'Estaing lors d'une conférence de presse à Paris le 20 juin 2019  afp.com/JACQUES DEMARTHON

Valery Giscard d'Estaing lors d'une conférence de presse à Paris le 20 juin 2019 afp.com/JACQUES DEMARTHON

Source : The Telegraph, Daniel Hannan
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

La Constitution européenne est un condensé tout ce qui ne va pas à Bruxelles

Chaque fois que je voyais Valéry Giscard d’Estaing, une ligne de Mallarmé me venait en tête : « Si extraordinairement distingué, quand je lui dis bonjour, je me fais toujours l’effet de lui dire merde » [en français dans le texte, NdT]

C’est exactement ce que j’ai ressenti lorsque, au début de la Convention européenne en 2001, j’ai commis l’erreur de demander à l’ancien président français, décédé la semaine dernière, si son objectif était vraiment de reconnecter l’Europe à ses peuples, était-il logique qu’il réquisitionne la plus grande suite d’hôtel de Bruxelles, avec le salaire et les dépenses afférentes.

Sa réponse : « Il faut être à l’aise », m’a fait me sentir tout petit. Mais c’était aussi la voix authentique de l’élite européenne : pompeuse, hautaine, imbue d’elle-même.

La Convention européenne a été la dernière grande incursion de Giscard en politique. Vingt ans après avoir quitté l’Élysée et à quelques semaines de son 76e anniversaire, il voulait donner à l’UE cet attribut final et définitif d’un État, une constitution écrite. Réunis au domaine royal belge de Laeken, il a convoqué divers eurocrates et hauts dignitaires associés à ce qu’il a appelé « notre moment de Philadelphie », se comparant à Thomas Jefferson (de manière inexacte et prétentieuse puisque Jefferson n’était pas présent lors de la rédaction de la Constitution américaine, il était ambassadeur à Paris). [...]

La suite ci-dessous :

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