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Enfin ! Nous sortons, avec ce texte de Jean Lévy, des éditos et interviews lénifiants.
Nous n'oublions pas non plus l'ardent artisan que fut VGE d'une Union Européenne très libérale. Il fut le promoteur du traité constitutionnel et de la fameuse "concurrence libre et non faussée". C'est sous sa présidence que le projet a été rédigé par une centaine de personnes choisies par leurs pairs (gouvernants, hauts fonctionnaires, parlementaires européens ou nationaux...). Ce traité fut soumis à referendum en France. Le vote semblait acquis - à 60% - aux médias, journalistes en cours, politiques de droite et seconde droite (PS) ... Il fut rejeté par 55% d'électeurs et d'électrices, après une rude bataille politique, jusque dans les organisations de la CGT. Après ce "non" retentissant, Giscard d'Estaing soutint âprement une nouvelle version qu'on ne présenterait pas aux électeurs : le traité de Lisbonne, que votèrent une majorité de parlementaires qui trahirent le vote souverain des Français. YG.
La mort de VGE ou comment, de nos jours, on vous raconte des histoires, par Jean LEVY
1981
La radio, et plus précisément franceinfo, nous raconte, non pas l'histoire, mais des histoires sur Valéry Giscard d'Estaing, et particulièrement, sur les sept années de sa présidence. D'abord, présenté comme le "grand "ministre des Finances de de Gaulle, les journalistes oublient de nous dire que VGE fut l'homme du "Oui, mais" au général, et qu'il a capitalisé sur son nom l'opposit
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