Attentat néonazi, corruption, mafia… Sur fond d’une crise inouïe, l’Italie s’approche des élections parlementaires du 4 mars prochain. Alors que la social-démocratie assume son virage ultra-libéral, la droite recycle Berlusconi et s’en prend aux étrangers. À gauche, un nouvel acteur essaie de remettre les pendules à l’heure : ce sont les partis traditionnels, et non les migrants, qui sont responsables du chômage et de la précarité.
Avant de se rendre, après deux heures de terreur, il n’oublie pas le salut fasciste. Chez lui, un exemplaire de Mein Kampf est retrouvé. Pendant deux heures, le néonazi Luca Traini a tiré sur un maximum d’étrangers dans la ville de Macerata. Les réactions des politiciens de droite laissent perplexe. L’ancien Premier ministre Berlusconi, condamné pour évasion fiscale, dit vouloir déporter 95 % des étrangers en Italie. Cela fait 600 000 personnes sur 630 000.[...]
Lire l'intégral ci-dessous :
commenter cet article …