De justesse, mais l’étape a été franchie. Par 362 mandats (56%) contre 279, les délégués réunis à Bonn le 21 janvier pour le congrès extraordinaire du Parti social-démocrate allemand (SPD) ont donné leur feu vert à l’ouverture des négociations avec les chrétiens-démocrates (CDU et CSU) en vue d’établir un contrat pour une future « grande coalition » (« Groko »). Les pourparlers se sont donc engagés dès le 22 janvier, sur la base du cadre établi entre les trois partis au terme des « discussions exploratoires » conclues le 12 janvier.
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