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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 14:00
Mémoire. Les balles du 14 juillet 1953
Maud Vergnol
Jeudi, 13 Juillet, 2017
L'Humanité
 
 

Juillet 1953, un portrait de Maurice Lurot est posé rue du Ruisseau à Paris, là où il vendait l’Humanité Dimanche. Mémoire d’Humanité/Archives dép. de la Seine-Saint-Denis

Juillet 1953, un portrait de Maurice Lurot est posé rue du Ruisseau à Paris, là où il vendait l’Humanité Dimanche. Mémoire d’Humanité/Archives dép. de la Seine-Saint-Denis
 

Le souvenir de cette journée sanglante, où sept militants algériens et français furent abattus par la police en plein Paris, refait surface depuis peu.

«Paris n’oubliera jamais la manifestation du 14 juillet 1953. » Ce 15 juillet de la même ­année, l’Humanité consacre sa une au véritable crime d’État qui s’est déroulé la veille, place de la Nation, où six indépendantistes algériens du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD) et un communiste et syndicaliste de la CGT ont été froidement abattus par la police française.

Mais Paris a oublié. Même les consciences militantes, pourtant plus vigilantes, ont effacé de leur mémoire ces balles du 14 juillet. Ce fut le cas dans nos propres colonnes, qui ont ignoré depuis plus de soixante ans cet épisode sanglant, qui coûta la vie à Abdelkader Draris, Mouhoub Illoul, Maurice Lurot, Amar Tadjadit, Larbi Daoui, Tahar Madgène et Abdallah Bacha. Leurs noms sont enfin sortis de l’oubli le 6 juillet dernier, grâce à l’initiative des élus communistes parisiens. Soixante-quatre ans plus tard, une plaque a finalement été inaugurée place de la Nation par Catherine Vieu-Charrier, adjointe à la maire de Paris, chargée de la mémoire. Présent au premier rang de cette commémoration : Guy Lurot, qui a découvert la veille en lisant l’Humanité Dimanche cet hommage tardif à son père et aux six autres victimes.

[..]

Lire la suite sur le site de l'Humanité

Et un livre :

" Les balles du 14 juillet 1953 "

Le massacre policier oublié de nationalistes algériens à Paris

Daniel KUPFERSTEIN

 

Editions La Découverte

 

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