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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
26 janvier 2017 4 26 /01 /janvier /2017 22:18

Modifié le sur http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/navale-saint-nazaire-la-cgt-ne-veut-pas-d-un-cdi-de-chantier-4748110

 
  • De gauche à droite, au premier plan, Alain Le Brun, Fabrice David, Cédric Turcat. Au second : Pascal Février, André Fadda, Lolita Oheix, Patrice Marion, Abdel Ahil.

    De gauche à droite, au premier plan, Alain Le Brun, Fabrice David, Cédric Turcat. Au second : Pascal Février, André Fadda, Lolita Oheix, Patrice Marion, Abdel Ahil. | Thierry Hameau

La CGT refuse l'arrivée dans la sous-traitance navale, d'un nouveau statut venu du BTP : le CDI de chantier. Dans ce secteur, le contrat hybride (ni CDI ni CDD) encadre certaines tâches (électricité, gros œuvre…) mais ne dure pas forcément l’intégralité du chantier.

« C’est un outil de flexibilité ultraprécaire qui transforme les salariés en tâcherons car le contrat peut s’arrêter à tout moment, prévient l'organisation syndicale. Les intérimaires vont être les premières victimes de ce plan, et dans la navale ils sont nombreux. »

Pour le syndicat majoritaire de STX, le CDIC est « la fin de la prime de précarité (10 % du salaire), la perte des acquis liés aux mutuelles, au droit à la formation et à l’ancienneté. La perte en pouvoir d’achat serait de 200 € à 300 €. »

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